• Nous avons la tristesse d’annoncer aux amis et connaissances, le décès de l’épouse de M. Maurice MVUVUA MAKUALA, Secrétaire Général Honoraire du Budget, mort survenue ce mardi 22 février 2011 à l’hôpital général de Kinshasa des suites d’une courte maladie.

    La défunte était la belle-mère de Paul BALENZA, notre frère et ami de tous les jours.  la mort de Madame Mvuavua, épouse du Secrétaire Général Honoraire du Budget. ce mardi à Kinshasa de la Belle Mère de Paul Balenza, notre frère et ami de tous les jours.

    Les funérailles sont prévues en début de semaine prochaine et le programme se présente comme suit :

    -         Lundi : Levée de corps à la morgue de l’hôpital Mama Yemo

    -         Mardi : Enterrement

    Nkundi a mbote mu ntangu ya mpasi. Tous ceux qui veulent souhaiter les condoléances à Noko Polo et Germaine Balenza (sa femme) peuvent appeler au 0999939259…
    En union des prières.


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  •   6. Quels sont les meilleurs joueurs qui ont marqué tes esprits ?

    Le FC Jeunes GwaGwa était une pléiade de vedettes confirmées du ballon rond. Je ne veux pas créer de polémique inutile sur la grande classe et les talents de nos joueurs. Retenez seulement que le FC GwaGwa avait son Zidane. Il s’appelait : MODI.

     

     7.  7. Tes souvenirs et déceptions

    La séparation brutale avec le FC Dravering fut l’une des plus grandes déceptions que j’ai vécues, car la plupart des joueurs de cette équipe étaient venus du FC Nomades. En outre, lorsque l’équipe perdait son match contre le FC Mikado, c’était le deuil et la désolation parmi les joueurs et supporters.

     

     8. Rappelle-nous les noms des joueurs fondateurs du mythe des Jeunes GwaGwa

    Au début, Jeunes GwaGwa était un groupe d'amis éparpillés dans les avenues Manianga, Astrid, Tabora, Foyer et Bambala. Il était composé de Bernard Nanisalawo et Mpembele (tous les deux Goals keepers), Kapita Bicorro, Kimfuta Raky, Nekadio Emmany Bill, Lunfuankenda Alphaco, RKT, Kalaka Basille le Physicien, Debandi, Lobeya, Bébé Mavos, Diakanua Haïdé Bill, Camille Makengo, Kuzoma Magie, Nzoayaya Saxo, Ntualani Du Sang, Jojo Mandiki et Kondua Samson alias Major. Tekasala Caïen et Mbuta Leki Mavos, en furent les premiers donateurs et/ou encadreurs. Dans ce premier contigent, seuls Haïdé, Raky, Mandiki et Major avaient réussi à s'imposer et furent autorisés à continuer l'aventure dans l'équipe première. Les autres se sont éclipsés au sein de sa réserve avant de rebondir plus tard. Parmi eux, nous pouvons citer Du Sang, le Fondateur qui s'en ira renforcer le FC Union Matata. Le FC Jeunes Gwagwa "Nouvelle Formule" va conquérir ces lettres de noblesse avec l’arrivée de Gento, Kakivueko Damar, Sekele et Basi, Alexis Mandiangu, Bouluba, Nlandu Ringo et Sitting, Mbuta Fe et Sérénade, Sasabi Likimba, Bantala Damien et Dieudonné Nzolantima alias Mbuta Mashakado, Kimfunia Modi, Emba, Nzayikisa, Fanfan, Médium, Zodi avant d'aller chercher nos pieds noirs que furent Paul Bukaka, Enyuka Tex, Ngoma Mulele, Lupele, etc… à Kinshasa. La liste de nos joueurs est très longue. Je m’arrête là. Sachez toutefois, dans cet engrenage, Mbuta Koke était le Patron, le véritable Chef d'orchestre, l'homme qui savait choisir la bonne partition qu'on allait jouer. Dans ce rôle, il était très précieux pour l'équipe dont il était à la fois le Président, le Secrétaire et l'Entraineur. Tarzan, Pakota, le Petit Médecin (frère de Bifibos), Mustafalo et moi - même, on  faisait partie de sa garde rapprochée. On constituait la ceinture de sécurité chargée de la protection des joueurs... C'est cela la vraie histoire des Jeunes GwaGwa. Sans la présence de Mbuta Koke, cette équipe serait disparue de la circulation comme toutes les autres formations que nous avons connues. Savez-vous qu'en 1968, après ses études secondaires, Mbuta Koke qui n'avait que 18 ans, refusa de quitter Thysville pour se faire inscrire à l'Université. S'il était parti, le FC Jeunes GwaGwa n'allait pas survivre à son départ. Voilà un homme qui a sacrifié une partie de sa vie pour l'intérêt de la communauté. Quelle naïveté et stupidité pour un garçon de cet âge qui prenait sa vie et son avenir à la légère. Voilà, là où la passion et le fanatisme peuvent nous conduire.

     

     

    9. Quelle est ta vision du FC GwaGwa de demain ?

    Aujourd’hui, avec la crise qui sévit dans le pays, il sera difficile de créer des nouvelles conditions pour favoriser la création des nouvelles équipes avec la formule qui fut la nôtre où tout le monde (joueurs et dirigeants) cotisaient pour soutenir leur formation. Autres temps, autres mœurs, je ne crois pas qu’on pourra créer des nouvelles formations capables de rivaliser avec le FC GwaGwa ou Bilanga Matebo. Ayant quitté le pays depuis une dizaine d’années, je ne suis pas en mesure de vous définir ma nouvelle vision pour redynamiser les activités de notre équipe. Toutefois, je crois que l’avenir du FC GwaGwa réside entre les mains de tous les anciens… C’est à nous que revient la charge de soutenir cette équipe.

     

    10.   Ton mot de la fin

    Le FC GwaGwa restera à jamais notre grande famille sportive. C'est un vrai patrimoine que nous léguons à la génération future. Je regrette toutefois l’ingratitude de beaucoup des Gwagwamen qui ont superbement oublié tout ce que le FC GwaGwa a fait pour nous.

     


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  • 1. Quel était ton âge en 1966 et comment peux-tu justifier tes accointances avec les Jeunes GwaGwa, dans la mesure où l’avenue Offitra avait déjà sa propre équipe de football le FC Nomades, et que Jeunes GwaGwa au début appartenait aux enfants vivant dans les parages du Ciné Kiakia ?

     

    En 1966, j'avais à peine 10 ans. A l’instar de plusieurs ngunguois de notre époque, le football, sport-roi était notre distraction préférée, car il y avait beaucoup d’espaces verts à travers la cité et cela facilitait la pratique de ce sport dans les milieux des jeunes. Je ne me rappelle plus comment j’ai commencé à fréquenter les milieux des Jeunes GwaGwa. Cependant, je crois que mes accointances avec cette équipe ont été favorisées par mon voisin de classe, Akim Mata, le petit frère de Jojo Mandiki Mapata, mais aussi et surtout par le football de très grande qualité que cette équipe nous présentait à chaque rencontre. Toutefois, une chose reste vraie. Nos relations avec Mbuta Koke datent de cette période, car chaque fois qu’on se rendait à notre jardin de Ndimba Leta, on était obligé de passer par leur résidence familiale. Petit à petit, nous avons sympathisé et j’ai commencé à le fréquenter, devenant ipso facto un de ses confidents. Tout en restant membre à part entière du FC Nomades, j’étais devenu un fanatique des Jeunes GwaGwa. Quel est ce jeune de notre époque qui a résisté au charme de cette équipe ?

     

             2. Expliquez-nous comment le départ de Mbuta Fe du FC Nomades ait réussi à déstabiliser cette équipe et quel est le rôle que tu as joué pour faire entrer ton grand frère dans le FC Jeunes GwaGwa ?

    Mbuta Fe était à la fois le patron et le meneur de jeu incontestable du FC Nomades. Chaque club avait ces joueurs de référence. Voulant monter une grande équipe avec des joueurs aux qualités physiques et techniques indéniables, Mbuta Koke qui l’avait découvert au cours d’un match qui nous opposa au FC GwaGwa, me confia la mission de convaincre Félix de rejoindre son équipe des Jeunes GwaGwa. Or, à cette époque, nos parents ne badinaient pas avec nos études. Le fait que Mbuta Koke qui étudiait à l'Athénée était un « guerrier » dans le vrai sens du terme, tous les jeunes qui évouluaient dans son sillage à l’école étaient des intouchables. L’athénée ressemblait pour ceux qui ne le savent pas à une jungle où seuls les plus forts avaient la voix au chapitre. Or, Mbuta Koke était classifié dans la catégorie des « Nkua Ngolo ». Aussi, Mbuta Fe ne se fit pas prier deux fois pour rejoindre le FC Jeunes GwaGwa, devenant le joueur chou chou de son président.

    Ce départ signa l'arrêt de mort de Nomades, car tous les joueurs de Nomades qui étaient des amis d’enfance, solidarité oblige, furent contraints d’accompagner Mbuta Fe dans sa nouvelle formation. Ainsi, Malonga Sérénade, Demalo, Nestor Nseke, Nsukami Hercule, Pierre Dianzonzika, Jeef Diakiadi, Nzakimuena Djang’s, Diakanua Simon, Mazu Albert alias Mombasa, Lukau Adolphe,  Michaux Kiangebeni s’en iront renforcer les rangs des joueurs qui faisaient partie de la grande écurie de Mbuta Koke. Suite au trop plein des joueurs, certains d'entre eux furent versés dans le FC Dravering. Tandis que, tous ceux qui étaient trop jeunes ou trahis par leur taille furent affectés dans le FC Union Matata où nous avons joué ensemble avec Mandiki, Du Sang, Nestor, Petrous, Wel’s, Zapata, Muble, D’Artagnan,  Bikla, etc…

     

           3. Comment Mbuta Fe qui était attaquant dans le FC Nomades fut-il converti défenseur dans les Jeunes  GwaGwa ?

    Le nom de Nomades Eboulement rappelle à tous les anciens la formidable équipe du Quartier Renkin de Kinshasa où évoluait des joueurs très talentueux, mais aux tempéraments belliqueux comme Mubiayi Déo et Juif, Tebakula Tebens, Eddy Morgan, Bwana Glov, Kalonda Marcello, Delondi Pélé, Bumba, Mungamuni Asmara, Gaby Bohole, etc… Au début, les enfants de l’avenue Offitra se regroupaient pour livrer quelques rencontres de football. Mais du fait que plusieurs de leurs rencontres se terminaient souvent dans la bagarre, surtout en cas de défaite, on collera à cette formation le nom de Nomades. 

    Mbuta Koke qui avait découvert en Félix, un talent à l’état pur mais qui risquait d’être gaspillé suite à un mauvais encadrement voulait en faire son attaquant de pointe. Si je ne me trompe pas, pour son premier match sous les couleurs des Jeunes GwaGwa, Mbuta Fe avait évolué au poste d’avant centre, poste généralement occupé par Mandiki, mais qui était handicapé par sa taille. Malgré un match de toute beauté, Félix n’avait pas réussi à trouver le chemin des buts. Avec cette pléiade de vedettes qui était à sa disposition, la concurrence au sein des Jeunes GwaGwa était très grande. Je ne sais pas pourquoi Mbuta Koke décida d’autorité de le positionner au poste d’arrière latéral droit. Mais, est-il qu’à ce poste, il devint un titulaire indiscutable. L’Homme de Kotakoli est resté durant plusieurs années au devant de la scène et il compte parmi les joueurs de la première génération des Jeunes GwaGwa.

     

             4. Quels sont tes sentiments pour avoir fait partie de cette grande école de football dirigé par Kocsis ?

    Je confirme aujourd’hui que le FC Jeunes GwaGwa fut une véritable école de football. Appartenir à cette école était un motif de fierté. Quel est ce jeune ngunguois de notre époque qui n’a pas rêvé de jouer sous les couleurs des Jeune GwaGwa ? Est-ce que Mbanza Ngungu peut encore recréer cette ambiance féerique qui existait chaque après midi au stade de l’Offitra  où plusieurs jeunes footballeurs en herbes cherchaient à se positionner au sein de cette formation. Même lorsqu’on n’était pas accepté au sein de notre équipe fanion, le simple fait d’être retenu, soit dans le FC Dravering ou dans Union Matata procurait de la satisfaction aux heureux élus. Ces sentiments se lisaient aussi dans les cœurs de nos nombreux supporters qui répondaient toujours présents à nos différents spectacles.

     

                      5. Quels sont les qualités et les défauts de celui que tu considères comme l’Homme Fort du FC Jeunes GwaGwa ?

    Mbuta Koke fut un grand dirigeant qui était respecté par tous. Il fut un rassembleur et un fin stratège qui avait un cœur d’or. C’est un homme qui savait châtier, mais qui restait à l’écoute de tout le monde. Ainsi, dans les moments difficiles, il avait la capacité de transcender ses passions en récompensant les meilleurs. Voilà comment GwaGwa est devenue une grande équipe, car être aligné dans une rencontre de football, il fallait prouver ses qualités techniques et physiques, mais surtout être ponctuel aux entrainements. Son cahier de présence faisant foi. Je me rappelle parfaitement de crises de colère qu’il piquait lorsqu’il n’était pas content. En ces moments-là, il ne fallait pas le contrarier. Mais très vite, il revenait aux bons sentiments. Ce n’était pas un rancunier.

     


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  • Le FC GwaGwa vient de totaliser ces 45 années d’âge. Notre appel en direction des anciens a eu un écho favorable auprès de certaines figures de proue considérées par nous comme les pionniers du FC Jeunes GwaGwa originel. Si Boulba le capitaine vient d’offrir un jeu de vareuse de couleur blanc et bleu aux motifs des maillots de l’équipe de France, nous informons les supporters et sympathisants de notre équipe avoir reçu de Anselme Mawanda un lot de trois coupes dont une sera mise en jeu lors du match de gala qui va opposer le FC GwaGwa à l’AS Bilanga Matebo à la fin du mois de mars 2011. Je confirme que le colis contenant lesdits cadeaux a été déposé auprès du transporteur qui nous a confirmé leur arrivée à Kinshasa dans la deuxième quinzaine du mois prochain. L’occasion faisant le larron, nous avons réussi, pour le bonheur de nos fervents lecteurs à délier la langue d’un compagnon de 1966, un des gars qui a œuvré dans l’ombre et qui a énormément contribué à l’envolée des Jeunes GwaGwa. Anselme Mawanda, car c’est de lui qu’il s’agit n’était pas seul. Avec lui, nous pouvons aussi citer Bernard Nkembo a Nza, Pakota, Pierre Kiketa, Médecin, Lhago Kilengokele, Kumbesa alias Mustafalo, sans oublier Nkuanza D’hara, le fils de Papa Thomas Walandila dit Matériaux Durable. Ce sont quelques-uns de ces inconditionnels de première heure. Tous ces accompagnateurs ont joué chacun dans son registre, sa propre partition dans ce brillant parcours qui, on doit le reconnaître fut parsemé des plusieurs embuches. C’est en observateur averti que Anselme a été soumis à cette série de questions à laquelle il a répondu en toute franchise.

    A SUIVRE...


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  • Mme BEATRICE NYIRAMUGANUZA EST DECEDEE

    Christine MADAMU a la profonde douleur d'annoncer aux amis et connaissances, plus particulièrement aux anciens de l'Institut Mama MUILU KIAWANGA, la mort de sa chère maman, Madame BEATRICE NYIRAMUGANUZA RUTIKANGA HILDA Ancienne Enseignante à L'Ecole Primaire Kimbanguiste de Mbanza Ngungu, et Surveillante à l'Institut KIMVUKA de Mbanza-Ngungu. 

    Maman Béatrice est décédée à Kinshasa dans la nuit du 8 au 9 février 2011.
    Sa dépouille mortelle sera exposée ce mardi, 15 Février 2011 à la Paroisse Protestante CBFC LISALA au croisement des Avenues Lisala et Gambela dans la commune de Kasa-Vubu où elle a œuvrée comme Diaconesse de 1996 à 2011 en passant par la paroisse CBZO de Mbanza-Ngungu de 1992 à 1995.
     
    L'inhumation aura lieu le mercredi 15 Février 2011 au Cimetière de Kinkole.
    Ce communiqué tient lieu de faire part.

     

    Que Dieu vous bénisse tous.  


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