• • Kocsis

    Samedi 11 Mars 2017 à 12:56
    

    Cher Monsieur Tshibuabua,

    Puis-je avoir la biographie complète de Tata Tshibuabua, votre père, ainsi que quelques détails sur votre séjour à Mbanza Ngungu ex-Thysville. MERCI POUR TOUT

1.Vers les années 60 , existait un dispensaire à côté de Centre Social de Foyer , dont  cela etait un passage obligé pour tous les enfants de Thysville ,c.d.a besi londe et besi dimba.Que t´il devenu ce dispensaire ?

2. Qui a connu le Dr Tshibuabua à Thysville ?

Je vous remercie pour votre attention.

Pereira

j'ajoute Mama  VICKI la  sage-femme a l'hopital President charles (hopital Nsona Nkul).Elle est d'origine muntandu , c'est une  infirmiere avec beaucoup d'experiences qui a aider beacoup de femmes ngungoies ou villageoises a acoucher.

Nkazi Koke,tu as complètement raison au sujet du surnom de N´koko.C´est bien Kocson et pas Kocsis.Tout ça est une invention de notre ami Lusilavo Alias ASPRO.C´est lui qui inventait tous les surnoms.Je me souviens encore d´une autre de ses inventions au sujet d´une belle fille qui venait du camp Ebeya et qui se trouvait en 3ème littéraire avec nous.A cette dernière,notre ami ASPRO lui avait surnommée CHAR DE COMBAT.Quelle imagination!

Bonjour Pereira.Je me rappelle très bien de cette monitrice et je crois qu´elle était de la région de Luozi.Il y en avait une autre qui était très coquette qui s´appelait Marie.Je peux même te dire qu´elle vivait sur l´avenue BANGALA.La classe dont tu parles,est celle de 6ème B,avec Maître VITAL comme titulaire.Dans cette classe se trouvaient N´koko qu´on appelait aussi Kocsis et mon ami Léopold Mabanza entre autres.Concernant le nom de notre monitrice,il faudra recourrir à ma soeur Augustine qui fut son élève.Notre classe se trouvait juste au bord du garage CEGEAC,car au début de l´année scolaire,ceux de la 5ème et 6ème étaient obligés de recevoir leur cours dans les bâtiments qui se trouvaient derrière l´athénée,à côté du camp militaire HARDY.Ce n´est qu´au second trimestre que nous nous sommes incorporés à VILLE HAUTE.On fera tout pour satisfaire ta curiosité cher Pereira.Vana mbote kua n´kundi ame Ambroise.Merci.

Chèr grand frère Kocsis

Je suis trés ravis de joie de votre amabilité pour satisfaire ma préocupation.Comme l´avait souligné Mbuta Crispin , ceci doit être une histoire qui date à plus de 50 ans , mais  je dirai avec toute ma fierté , je suis encore en mesure de recourir aux événements,  qui marquent mon enfance dans ma ville natale,car  les miens sont à la disposition  de touts les natifs de Ngungu. Je vous remercie encore une fois , ceci dit à chaque fois , que parviens à découvrir une nouvelle de Thysville , je le transmet à mes enfants ,qui n´ont jamais connus cette ville , mais qu´ils connaissent à travers sur ce que ,je leurs ranconte , mais  je suis obligé  de leurs dire une histoire  réelle.

Prochainement je reviendrai concernant l´histoire de l´ecole Oficielle  de la ville haute, dont je sais que , Mbuta Kocsis , Mbuta Augustin Malonga et Crispin etienz en 6 année  en 1961 , juste  c´etait  l´année dont , j´avais comencé ma  première année , mais  je garde encore quelques souvenirs.Votre salle de classe etait situé dans le même batiment avec la direction  au coin   .Notre chauffeur de bus pour les écoliers , dont les enfants avaient surnomés Vamaro , notre bus de TP à  la couleur blanche, pendant la récréation, touts les enfants faisaient la queue devant la cuisine pour recevoir du lait ,dont l´ecole distribuait gratuitements aux enfants. J´ai seulement une question , qui m´a toujour tourmentée, en 1° année  j´avais une institutrice ,dont je ne me rappelle plus  son nom. Cette femme avait une petite déformation physique dans la jambe droite .Je dirige cette question à mes ba mbutas Kocsis, Augustin Malonga  et Crispin , car  mes grands frères biologique etaient des élèves à l´ ecole St. Therese , donc ils ne peuvent pas m´aider ou même  connaittre cette femme dont je continus à visualiser dans mémoire  .

Ntodele

Pereira