• 1. Quel était ton âge en 1966 et comment peux-tu justifier tes accointances avec les Jeunes GwaGwa, dans la mesure où l’avenue Offitra avait déjà sa propre équipe de football le FC Nomades, et que Jeunes GwaGwa au début appartenait aux enfants vivant dans les parages du Ciné Kiakia ?

     

    En 1966, j'avais à peine 10 ans. A l’instar de plusieurs ngunguois de notre époque, le football, sport-roi était notre distraction préférée, car il y avait beaucoup d’espaces verts à travers la cité et cela facilitait la pratique de ce sport dans les milieux des jeunes. Je ne me rappelle plus comment j’ai commencé à fréquenter les milieux des Jeunes GwaGwa. Cependant, je crois que mes accointances avec cette équipe ont été favorisées par mon voisin de classe, Akim Mata, le petit frère de Jojo Mandiki Mapata, mais aussi et surtout par le football de très grande qualité que cette équipe nous présentait à chaque rencontre. Toutefois, une chose reste vraie. Nos relations avec Mbuta Koke datent de cette période, car chaque fois qu’on se rendait à notre jardin de Ndimba Leta, on était obligé de passer par leur résidence familiale. Petit à petit, nous avons sympathisé et j’ai commencé à le fréquenter, devenant ipso facto un de ses confidents. Tout en restant membre à part entière du FC Nomades, j’étais devenu un fanatique des Jeunes GwaGwa. Quel est ce jeune de notre époque qui a résisté au charme de cette équipe ?

     

             2. Expliquez-nous comment le départ de Mbuta Fe du FC Nomades ait réussi à déstabiliser cette équipe et quel est le rôle que tu as joué pour faire entrer ton grand frère dans le FC Jeunes GwaGwa ?

    Mbuta Fe était à la fois le patron et le meneur de jeu incontestable du FC Nomades. Chaque club avait ces joueurs de référence. Voulant monter une grande équipe avec des joueurs aux qualités physiques et techniques indéniables, Mbuta Koke qui l’avait découvert au cours d’un match qui nous opposa au FC GwaGwa, me confia la mission de convaincre Félix de rejoindre son équipe des Jeunes GwaGwa. Or, à cette époque, nos parents ne badinaient pas avec nos études. Le fait que Mbuta Koke qui étudiait à l'Athénée était un « guerrier » dans le vrai sens du terme, tous les jeunes qui évouluaient dans son sillage à l’école étaient des intouchables. L’athénée ressemblait pour ceux qui ne le savent pas à une jungle où seuls les plus forts avaient la voix au chapitre. Or, Mbuta Koke était classifié dans la catégorie des « Nkua Ngolo ». Aussi, Mbuta Fe ne se fit pas prier deux fois pour rejoindre le FC Jeunes GwaGwa, devenant le joueur chou chou de son président.

    Ce départ signa l'arrêt de mort de Nomades, car tous les joueurs de Nomades qui étaient des amis d’enfance, solidarité oblige, furent contraints d’accompagner Mbuta Fe dans sa nouvelle formation. Ainsi, Malonga Sérénade, Demalo, Nestor Nseke, Nsukami Hercule, Pierre Dianzonzika, Jeef Diakiadi, Nzakimuena Djang’s, Diakanua Simon, Mazu Albert alias Mombasa, Lukau Adolphe,  Michaux Kiangebeni s’en iront renforcer les rangs des joueurs qui faisaient partie de la grande écurie de Mbuta Koke. Suite au trop plein des joueurs, certains d'entre eux furent versés dans le FC Dravering. Tandis que, tous ceux qui étaient trop jeunes ou trahis par leur taille furent affectés dans le FC Union Matata où nous avons joué ensemble avec Mandiki, Du Sang, Nestor, Petrous, Wel’s, Zapata, Muble, D’Artagnan,  Bikla, etc…

     

           3. Comment Mbuta Fe qui était attaquant dans le FC Nomades fut-il converti défenseur dans les Jeunes  GwaGwa ?

    Le nom de Nomades Eboulement rappelle à tous les anciens la formidable équipe du Quartier Renkin de Kinshasa où évoluait des joueurs très talentueux, mais aux tempéraments belliqueux comme Mubiayi Déo et Juif, Tebakula Tebens, Eddy Morgan, Bwana Glov, Kalonda Marcello, Delondi Pélé, Bumba, Mungamuni Asmara, Gaby Bohole, etc… Au début, les enfants de l’avenue Offitra se regroupaient pour livrer quelques rencontres de football. Mais du fait que plusieurs de leurs rencontres se terminaient souvent dans la bagarre, surtout en cas de défaite, on collera à cette formation le nom de Nomades. 

    Mbuta Koke qui avait découvert en Félix, un talent à l’état pur mais qui risquait d’être gaspillé suite à un mauvais encadrement voulait en faire son attaquant de pointe. Si je ne me trompe pas, pour son premier match sous les couleurs des Jeunes GwaGwa, Mbuta Fe avait évolué au poste d’avant centre, poste généralement occupé par Mandiki, mais qui était handicapé par sa taille. Malgré un match de toute beauté, Félix n’avait pas réussi à trouver le chemin des buts. Avec cette pléiade de vedettes qui était à sa disposition, la concurrence au sein des Jeunes GwaGwa était très grande. Je ne sais pas pourquoi Mbuta Koke décida d’autorité de le positionner au poste d’arrière latéral droit. Mais, est-il qu’à ce poste, il devint un titulaire indiscutable. L’Homme de Kotakoli est resté durant plusieurs années au devant de la scène et il compte parmi les joueurs de la première génération des Jeunes GwaGwa.

     

             4. Quels sont tes sentiments pour avoir fait partie de cette grande école de football dirigé par Kocsis ?

    Je confirme aujourd’hui que le FC Jeunes GwaGwa fut une véritable école de football. Appartenir à cette école était un motif de fierté. Quel est ce jeune ngunguois de notre époque qui n’a pas rêvé de jouer sous les couleurs des Jeune GwaGwa ? Est-ce que Mbanza Ngungu peut encore recréer cette ambiance féerique qui existait chaque après midi au stade de l’Offitra  où plusieurs jeunes footballeurs en herbes cherchaient à se positionner au sein de cette formation. Même lorsqu’on n’était pas accepté au sein de notre équipe fanion, le simple fait d’être retenu, soit dans le FC Dravering ou dans Union Matata procurait de la satisfaction aux heureux élus. Ces sentiments se lisaient aussi dans les cœurs de nos nombreux supporters qui répondaient toujours présents à nos différents spectacles.

     

                      5. Quels sont les qualités et les défauts de celui que tu considères comme l’Homme Fort du FC Jeunes GwaGwa ?

    Mbuta Koke fut un grand dirigeant qui était respecté par tous. Il fut un rassembleur et un fin stratège qui avait un cœur d’or. C’est un homme qui savait châtier, mais qui restait à l’écoute de tout le monde. Ainsi, dans les moments difficiles, il avait la capacité de transcender ses passions en récompensant les meilleurs. Voilà comment GwaGwa est devenue une grande équipe, car être aligné dans une rencontre de football, il fallait prouver ses qualités techniques et physiques, mais surtout être ponctuel aux entrainements. Son cahier de présence faisant foi. Je me rappelle parfaitement de crises de colère qu’il piquait lorsqu’il n’était pas content. En ces moments-là, il ne fallait pas le contrarier. Mais très vite, il revenait aux bons sentiments. Ce n’était pas un rancunier.

     


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  • Le FC GwaGwa vient de totaliser ces 45 années d’âge. Notre appel en direction des anciens a eu un écho favorable auprès de certaines figures de proue considérées par nous comme les pionniers du FC Jeunes GwaGwa originel. Si Boulba le capitaine vient d’offrir un jeu de vareuse de couleur blanc et bleu aux motifs des maillots de l’équipe de France, nous informons les supporters et sympathisants de notre équipe avoir reçu de Anselme Mawanda un lot de trois coupes dont une sera mise en jeu lors du match de gala qui va opposer le FC GwaGwa à l’AS Bilanga Matebo à la fin du mois de mars 2011. Je confirme que le colis contenant lesdits cadeaux a été déposé auprès du transporteur qui nous a confirmé leur arrivée à Kinshasa dans la deuxième quinzaine du mois prochain. L’occasion faisant le larron, nous avons réussi, pour le bonheur de nos fervents lecteurs à délier la langue d’un compagnon de 1966, un des gars qui a œuvré dans l’ombre et qui a énormément contribué à l’envolée des Jeunes GwaGwa. Anselme Mawanda, car c’est de lui qu’il s’agit n’était pas seul. Avec lui, nous pouvons aussi citer Bernard Nkembo a Nza, Pakota, Pierre Kiketa, Médecin, Lhago Kilengokele, Kumbesa alias Mustafalo, sans oublier Nkuanza D’hara, le fils de Papa Thomas Walandila dit Matériaux Durable. Ce sont quelques-uns de ces inconditionnels de première heure. Tous ces accompagnateurs ont joué chacun dans son registre, sa propre partition dans ce brillant parcours qui, on doit le reconnaître fut parsemé des plusieurs embuches. C’est en observateur averti que Anselme a été soumis à cette série de questions à laquelle il a répondu en toute franchise.

    A SUIVRE...


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  • Mme BEATRICE NYIRAMUGANUZA EST DECEDEE

    Christine MADAMU a la profonde douleur d'annoncer aux amis et connaissances, plus particulièrement aux anciens de l'Institut Mama MUILU KIAWANGA, la mort de sa chère maman, Madame BEATRICE NYIRAMUGANUZA RUTIKANGA HILDA Ancienne Enseignante à L'Ecole Primaire Kimbanguiste de Mbanza Ngungu, et Surveillante à l'Institut KIMVUKA de Mbanza-Ngungu. 

    Maman Béatrice est décédée à Kinshasa dans la nuit du 8 au 9 février 2011.
    Sa dépouille mortelle sera exposée ce mardi, 15 Février 2011 à la Paroisse Protestante CBFC LISALA au croisement des Avenues Lisala et Gambela dans la commune de Kasa-Vubu où elle a œuvrée comme Diaconesse de 1996 à 2011 en passant par la paroisse CBZO de Mbanza-Ngungu de 1992 à 1995.
     
    L'inhumation aura lieu le mercredi 15 Février 2011 au Cimetière de Kinkole.
    Ce communiqué tient lieu de faire part.

     

    Que Dieu vous bénisse tous.  


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  • Nkazi,mavimpi kua ngeye mu m´vu wowo wa mpa.Je suis un débordé avec les arrangements que je dois faire et mes propres enregistrements. Je suis encore entrain de confectionner ma petite contribution sur Papa Mayembe, que je t´enverrai dès que possible. Aujourd´hui je vais parler brèvement d´un autre Ngunguois de notre époque.Il s´agit de Sébastien LUYEYE. Il est tout à fait injuste de ne pas citer le nom de Sébastien LUYEYE quand on parle de Thysville. Ce jeune homme intelligent de caractère doux et paisible, était le nouvel encadreur à l´école Ste Thérèse après les Patrice Kinzonzi, Sylvain Lema, Philippe Kabuiku, Paul Ntangu, Jacques Makanzu et beaucoup d´autres de cette génération. Luyeye était l´Enfant de Choeur préféré de Père Tarwé, l´abbé Dinganga et tous les autres prêtres de la mission. Je peux dire qu´il était l´élève le plus actif de notre école et présent dans toutes les activités scolaires, sociales et propres de la jeunesse de l´époque. Après l´école Ste Thérèse, il sera de la première promotion de l´école moyenne St Clément. Dans le mouvement Scout St Matthieu, il fut 1er C.P. Tout le monde l´aimait bien et c´est ainsi qu´il va trouver la mort dans un accident de roulage, revenant de Kinshasa dans la camionnette de Maître Gabriel Nsokele, que conduisait Ya Mbimba le frère de ce dernier. Ils étaient 8 dans l´auto et il fut la seule victime mortelle de l´accident. Sébastien Luyeye était une référence pour nous, enfants de l´époque et la triste nouvelle de sa mort avait affecté la population de notre Ville. Avec ce petit récit j´ai voulu lui rendre hommage. Il partit très tôt, qu´aujourd´hui personne ne se souvient de cet illustre jeune qui faisait l´orgueil de notre cité dans les années 1956 à 1959.Qu´il soit dans nos cœurs jusqu´à l´éternité. Repose en paix Grand frère LUYEYE.  

    Simbi kia Nkulu


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    Jadis, la vie à Mbanza Ngungu s’arrêtait au niveau de l’avenue Foyer. Au-delà de cette rue très select, réservée à une catégorie des familles triées sur le volet, il y avait une brousse dans la vallée qui nous conduisait à Ndimba Leta. Cette partie de la ville était inhabitée. C’était un des lieux où les enfants les plus téméraires s’adonnaient à toutes sortes des pratiques propres à la jeunesse de cette époque-là. Un terrain de football de fortune était même installé dans ce coin.

    Parmi les célébrités locales inoubliables dans la naissance de ce quartier, nous nous rappelons du Vieux Thomas Makuiza. Ce dernier était connu comme le plus grand spécialiste des « camons » (Nkisi mia ngolo). Lorsqu’il habitait sur l’avenue Thys, c’est à Ndimba Leta qu’il allait organiser ses séances mystiques d’intronisation de ses nouveaux adeptes. Ironie du sort, pour bien le sanctionner, lorsqu’il sollicita un terrain au bureau du Centre extra coutumier pour y ériger sa résidence familiale, c’est justement à l’endroit où il organisait ses incantations et sa traditionnelle séance des casses de bouteilles que fut délimitée par Tata Emmanuel Beti sa parcelle de l’avenue Tintika. Ainsi, l’arroseur fut arrosé. Au moment où il prenait son lopin de terrain, il était d’abord obligé de se débarrasser de tous les détritus qu’il y avait stockés.

    L’initiative de la création de cette nouvelle cité revient au Chef de la Cité, Mfumu Lutete Paulin. Si notre mémoire ne nous a pas joué de mauvais tours, ce nouveau quartier qui porte le nom de son bâtisseur, remonte aux années 1962 (?) et fut créé en même temps que le quartier Missioni, juste après la création de la cité de Loma. Elle comprend les avenues Lutete, Tintika, Mbaki I et II qui en constituent l’épine dorsale. Ce quartier fait partie de la paroisse catholique Sainte Thérèse et comprend aussi les cimetières de Nsona Nkulu. La vallée de Ndimba Leta avec ses étangs qui ont cessé d’exister et ont été remplacés par des champs spécialisés dans les cultures maraîchères de pointe, notamment les fraises, faisaient de cette partie de Mbanza Ngungu l’un des passages et le raccourci pour se rendre aux endroits précités. Aujourd’hui, avec la construction du Lycée Bankazi et son internat, le chemin qui conduisait directement à l’école primaire Sainte Thérèse a été bloqué et les entrées dans ces lieux ont été centralisées.

    Mbanza Ngungu est une cité centenaire avec sa propre histoire. Elle dispose de ses propres élites formées dans divers secteurs de la vie. Au-delà de la grande ferveur religieuse qui a accompagné notre passage à Sainte Thérèse, nous pouvons toutefois les compter du bout des doigts ces ngunguois totalement engagés qui ont suivi avec brio leur formation au petit séminaire de Kibula, avant d’aller parachever leurs études soit à Mayidi ou à Jean XXIII à Kinshasa.

    Au moment où nous sommes en train de raconter un pan de l’histoire de notre cité, avec ces faits marquants, nous venons d’épingler un fait qui mérite d’être porté à la connaissance de nos lecteurs. Le Quartier Lutete, qui a été pourtant érigé après l’accession de notre pays à son indépendance est en train de trôner au Hit Parade des rares faubourgs de Thysville à avoir fourni le plus grand nombre des serviteurs de Dieu à cette cité. En effectuant un passage en revue de nos jeunes prêtres ou sœurs religieuses, nous avons délimité notre enquête sur cette minuscule partie de notre ville située entre l’avenue Tabora jusqu’à Mbaki Bis. Nous y avons inventorié une pléiade des Abbés et de Sœurs qui font l’honneur et la fierté de cette portion de notre cité où nous avions appris à tirer les cent premiers coups de notre vie.

    Soyez honorés, Chers Frères et Chères Sœurs. Vous qui avez accepté au moment où les vocations se font de plus en plus rares dans le monde, de mettre votre intelligence et votre savoir faire au service de Christ le Ressuscité. Sans nul doute que la proximité de notre quartier avec la paroisse catholique Sainte Thérèse n’est pas étrangère à votre engagement ; à cette piété et cette dévotion sacerdotale qui souffle dans les environs de ce haut lieu de prières et dont vous avez été les dignes bénéficiaires. Mes oreilles tressaillent encore de joie avec cette leçon que je garderai toujours du bref mais très instructif sermon que le Père Luc Lusala Nkuka (jésuite) avait réservé à ses invités et aux paroissiens, lors de sa messe des prémisses à Sainte Thérèse. Ce jour-là, un homme s’était levé et s’était permis de crier haut et fort devant la nombreuse assistance qui avait participé à cette célébration eucharistique : « On ne s’improvise pas un serviteur de Dieu ».

    Bika Tata Nzambi, mvangi a nsi ye mvangi a zulu, ka toma kulusakumuna ye ku lu lunda, lua tatamana mu ku nsadila ye ka vayikisa diaka Nganga za Nzambi za mpa kuna Quartier eto.

    Voici à titre illustratif, quelques noms qui me sont revenus à l’esprit… Qui dirait mieux ! Kia mbote kieno, beno bawonsono…

    01. Abbé Roger Kufulu, sur Tabora décédé
    02. Abbé Alfred Mambangula, sur Foyer
    03. Abbé Willy Lunkoka, sur Foyer
    04. Père Luc Lusala Nkuka, Jésuite sur Mbaki
    05. Abbé Jean de Dieu Mvuanda, sur Tintika
    06. Abbé André Mingiedi, sur Tintika
    07. Abbé Sabena Kombe, sur Mbaki bis
    08. Abbé Janvier Nginadio, sur Mbaki bis
    09. Abbé Placide Mayamona, sur Mbaki bis
    10. Abbé Pembele, sur Lutete décédé
    11. Abbé André Matondo, sur Lutete

    12. Abbé Gérard Matondo, sur avenue Tintika

    13. Abbé Kombe Sabena, sur Mbaki bis

    14. Abbé Laurent Pidi, Diacre décédé, sur avenue Foyer

    15. Sœur Joséphine Mawete, sur Mbaki bis

    16. Sœur Julie Diata, sur Lutete
    17. Sœur Félicité Mbuata, sur Mbaki bis

    18. Sœur Kitumua, avenue Tintika

    19. Sœur Sylvie Pidi, sur avenue Foyer

    Enfin, cette énumération serait incomplète si nous ne faisions pas allusion à ces nombreux chrétiens qui ont consacré leur vie comme laïcs engagés au sein des communautés paroissiales (Sainte Thérèse ou Sacré Cœur) où ils ont toujours donné le meilleur d’eux-mêmes, soit en qualité d’enfants de cœur, soit comme choristes ou musiciens chrétiens. Nous pensons à Cérebos Malenga, Mhass Massengo, Tity Nkuka, Hilaire Nzeza Hit, Albert Malo Baka, Jean Nora Ndombe, Lucien Diata, Nuengi Jo Ballard, Mongali Nglish, Blandine Mayamona… Ce sont là autant d’autres héros dans l’ombre qui auraient peut-être réussi leur carrière dans ce monde ecclésiastique

     


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